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Mergus merganser

©Ducks Unlimited Canada/ Brian Wolitski

Doué pour attraper les poissons, le grand harle possède un bec étroit et dentelé parfaitement adapté à cette tâche, ce qui lui a valu son ancien nom de “bec-scie”.

Habitat

En été, le grand harle fréquente les grands lacs et les rivières des forêts nordiques où abondent les arbres matures. En hiver, il se rend dans des endroits similaires dans certaines régions méridionales du Canada, des États-Unis et du nord du Mexique.

Nourriture

Le grand harle se nourrit principalement de poissons, mais aussi d’insectes aquatiques et de crustacés, de mollusques, de grenouilles, de petits mammifères et d’oiseaux, et même de plantes.

Comportement

Le grand harle niche dans les cavités des arbres, comme les fissures et les trous naturels, ou celles faites par les pics, et les nichoirs mais il a besoin de gros et vieux arbres en raison de leur taille importante. Il utilise parfois d’autres types de cavités, comme les fissures dans les rochers, les anciens terriers et même les vieilles remises et cheminées. La femelle forme une cuvette avec son corps pour six à dix-sept œufs. Au bout d’une trentaine de jours, les jeunes éclosent et quittent rapidement le nid en sautant au sol. Les grands harles plongent à la recherche de proies le long des côtes et on les voit souvent prendre le soleil sur des troncs et des rochers.

Conservation

La conservation du grand harle est peu préoccupante. Leur nombre est stable, mais ils sont vulnérables aux polluants qui peuvent dégrader leur habitat.

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